О четверояком корне закона достаточного основания

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Приведенное здесь мнение об интеллектуальности созерцания находит физиологическое подтверждение у Флурана в работе «De la vie et de l'intelligence» (2me ed. P., 1858); на с. 49 под заголовком «Opposition entre les tubercules et les lobes cerebraux» Флуран пишет: «И faut faire une grande distinction entre les sens et l'intelligence. L'ablation d'un tubercule determine la perte de la sensation, de sens de la vue; la retine devient insensible, Piris devient immobile. L'ablation d'un lobe cerebral laisse la sensation, le sens, la sensibilite de la retine, la mobilite de Piris; elle ne detruit que la perception seule. Dans in cas, c'est un fait sensorial; et, dans Pautre, un fait cerebral; dans un cas c'est la perte du sens; dans Pautre, c'est la perte de la perception. La distinction des perceptions et des sensations est encore un grand resultat; et il est demontre aux yex. II у a deux moyens de faire perdre la vision par Pencephale: 1) par les tubercules, c'est la perte du sens, de la sensation; 2) par les lobes, c'est la perte de la perception, de l'intelligence. La sensibilite n'est done pas l'intelligence, penser n'est done pas sentir; et voila toute une philosophic renversee t'idee n'est done pas la sensation; et voila encore une autre preuve du vice radical de cette philosophic»052. Далее, на с. 77 под заголовком «Separation de la sensibilite et de la perception»: «II у a une des mes experiences qui separe nettement la sensibilite de la perception. Quand on enleve le cervau proprement dit (lobes ou hemispheres ekrkbraux) a un animal, Panimal perd la vue. Mais, par rapport a Poeil, rien n'est change: les objets continuent a se peindre sur la retine; Piris reste contractile, le nerf optique sensible, parfaitement Sensible. Et cependant Panimal ne voit plus; il n'y a plus vision, quoique tout ce qui est sensation sebsiste; il n'y a plus vision, parce g'ill n'y a plus perception. La percevoir, et non le sentir, est done le wemier element de l'intelligence. La perception est partie de l'intelligence, car elle se perd avec l'intelligence, et par l'ablation du meme organe, lobes ou hemispheres ceribraux; et la sensibilite n'en est point partie, puisqu'elle subsiste apr&s la perte de l'intelligence et fablation des lobes ou hemispheres»053 .

Что интеллектуальность созерцания в общих чертах была известна уже древним, доказывает знаменитый стих древнего философа Эпихарма: Mens videt, mens audit; caetera surda et coeca. Плутарх, цитируя его (De soler. animal, cap. 3), добавляет: quia affectio oculorum et aurium nullum affert sensum, intelligentia absente, а несколько ранее говорит: Stratonis physici exstat ratiocinatio, qua «sine intelligentia sentiri omnino nihil posse demonstrat». Но вслед за этим говорит: quare necesse est omnia, quae sentiunt, etiam intelligere, siquidem intelligendo, demum sentiamus. С этим можно сопоставить еще один стих Эпихарма, который приводит Диоген Лаэрций (III, [1], 16): Eumance, sapientia поп uni tantum competit, sed quaecunque vivunt etiam intellectual habent. Порфирий также (De abstinentia054 , III, 21) старается дать подробное доказательство того, что все животные обладают рассудком.

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